quand il a 45 cm d'Humour à vendre
Catégorie : L'actu du livre : "J'adooore", 6 ingrédients pour créer des fans. Ecrit par Patricia Gallot-Lavallée, le 23 février 2015 à 17:24
Comme vous le savez, les version papier de J'adooore se font rares, très rares... pas uniquement parce que c'est bonne pratique... aussi parce que... côté budget en ce moment "je fais ce que je peux".
Pour acheter votre exemplaire numéroté de J'adooore, ingrédient n°5 de Humour, c'est par ici.
05Humour, de la série J'adooore, six ingredients to create fans. Livre écrit en anglais, 156 pages, contenu très illustré. 21 euros pour la version papier + le PDF.
Voici sa table des matières :
- 17 types d'humour utilisables pour les marques à travers le monde
- 11 stratégies pour créer de l'humour sur les réseaux sociaux, sur nos sites web, sur nos packagings, dans nos pubs
- 3 stratégies pour faire juste sourire notre audience
- Comment les associations à but non lucratif arrivent à attirer l'attention sans montrer des photos d'enfants affamés ou de doigts de gorilles coupés
- L'humour est-il utilisable par toutes les marques ? Même les marques de luxe ?
- L'humour est-il adapté à tous les messages ? Même les messages de sécurité ?
- L'humour est-il utilisable dans toutes les situations ? Même les situations de crise ou de bad buzz ?
- Des interviews exclusives de Penny Anderson de TreacleMoon et de Charlotte Garin d'Innocent Drinks
Vous voulez savoir ce qu'en disent les lecteurs ?
"Je croyais que l'Humour c'était pour les autres marques, pas la nôtre, mais en lisant ce livre, je me dis que non, ce n'est qu'une question de style à adapter à notre cible." M.S
"Comme les autres ingrédients, toujours aussi concret, fouillé, surprenant." N.M.
"Quand j'entends Patricia parler du contenu de ce livre, j'ai l'impression qu'elle fait les recherches que je n'ai pas le temps de faire" Alexandra Dimiziani, Coca-Cola Europe.
quand Luc Besson est aussi un chasseur d'authenticité
Catégorie : Experience design. Ecrit par Patricia Gallot-Lavallée, le 22 février 2015 à 13:36
Capturer l'authenticité d'une émotion sur le visage d'un spectateur est clé pour véhiculer l'émotion. On le voit dans les vidéos de buzz. Toutes les techniques de l'Actor's studio tournent autour de ça... de techniques pour créer cette authenticité. Je ne parle même pas du travail des photographes sur ce sujet.
Voici comment Luc Besson s'y prend :
5:49. Je la résumerais en deux points : "make it real, surprise actors". Et oui, même Bruce Willis y a droit.
PS : Walt utilise la même technique dans cette scène de Mary Poppins
quand je me lance (enfin) dans un marathon Shonda Rhimes
Catégorie : Experience design. Ecrit par Patricia Gallot-Lavallée, le 22 février 2015 à 12:17
Ma technique de recherche est la suivante :
- identifier des produits "adooorés".
- partir dans un marathon fait de vidéos, de livres et autres interviews sur les créateurs du produit.
Et là, vacances aidant, j'ai récupéré un peu de CPU, donc je me suis attelé à Shonda Rhimes, créatrice, en autre, de Grey's Anatomy. Shonda est Doctor of Arts diplômée de Darthmouth. Elle partage très généreusement, dans les vidéos ci-dessous, avec deux autres auteurs à succès : "SON PROCESS". En design d'expérience, au contraire d'un artiste qui travaille seul, il est question de réussir à créer "en groupe".
- Comment fait-elle pour gérer les peurs des acheteurs ? et à leur "Stupid notes"
- Comment fait-elle pour convaincre le network ?
- Comment fait-elle pour tirer le meilleur de ses équipiers ?
- Comment fait-elle pour être à l'écoute des opportunités apportées par les autres artistes de l'équipe ?
- Comment fait-elle pour extirper le meilleur d'elle-même ? (oui oui, extirper)
- Où sont les jalons (the stakes in ground) qui lui permettent de créer autant d'émotions chez les téléspectateurs ?
Bref, quel est le processus de co-création de la série à très grand succès "Grey's anatomy" ? Voyons ce que le "Doctor of Arts" dit.
Les réponses dans ces 2h30 de vidéo :))
Ce que j'en retiens en 10 points :- Fait des silences, trouve la peur sous-jacente
- En cas de moment difficile, utilise ça
- Benchmark, recherches, écoute ton intuition, regarde ce qu'il te plait, fait des choses que tu aimerais voir
- Regarde ce que les équipes apportent, prend les nouvelles idées que cela apporte, édite toi-même, re-shoot les bouts qu'il manque, emprunte allègrement à ta propre vie
- Soit claire de qui sont tes personnages et où tu veux aller. Ai des images fortes dans ta tête de ce qu'il se passe à mi-parcours. Connait ce qu'ils ont dans leur casier
- Travaille en musique, note ce qui "sticks", travaille le rythme, travaille la soundtrack encore encore et encore
- Respecte ton process (voire impose ton process) mais livre aux deadlines
- Pas de template mais "thread, thread, links, thread here there", des arcs sur 3 épisodes, sur une season, sur une série de plus de 300 épisodes. "I'm a craft lady".
- Donne tout ce que tu as... tu ne sais pas s'il y en aura d'autres
- Et enfin "Be a doer"
PS : j'ajouterais... ce que j'entends entre les mots : "walk into the fear".
quand il est question de "prendre des risques"
Catégorie : Experience design. Ecrit par Patricia Gallot-Lavallée, le 22 février 2015 à 11:23
Il y a quelques jours, j'ai eu le plaisir de faire une conférence J'adooore auprès d'une grande marque française de cosmétique. C'est toujours aussi chouette pour moi de partager mes recherches avec ceux pour qui je les ai faites.
IMPP me fait intervenir dans le cadre de "L'atelier", mon intervention est positionnée en fin de journée. J'arrive, et petits retards sur la journée aidant, j'ai alors la chance d'entendre les comptes-rendus des tables par sujet de recherche. Cette fois-ci une personne a fait un compte-rendu en finissant par un : "bref, il faut prendre des risques". A ce moment là, toute la salle s'est animée, des applaudissements, des cheers. Ils étaient tous bien d'accord !
Cette phrase m'a inspirée. Me fait de nouveau réfléchir sur cette notion de prendre des risques. Qu'est-ce que prendre des risques quand on est en groupe ? Le groupe soutient-il le risque ? Où est le risque réellement ? Est-il financier ? Est-ce risqué pour notre image de marque ? Est-ce risqué pour notre ego ? Est-ce risqué pour notre réputation en temps que professionnel ? Y-a-t-il vraiment innovation sans prise de risque ? En temps qu'équipier, dois-je prévenir les autres que je prends des risques ? Cette capacité a prendre des risques, n'est-ce pas là l'essence même de ce qui va me permettre de différencier ma marque ? Car je vais prendre des risques là où les autres ne vont pas le faire. Je reflète sur mon travail passé, sur les bons que j'ai pu faire en design d'experience... et combien de fois... c'est la prise de risque qui m'a permis de cristalliser les choses.
Bref, j'ai l'impression d'avoir une main dans le dos, ferme et réconfortante, qui me pousse à prendre des risques maintenant. Pour fêter ça, ce weekend, j'ai pris un risque de 2m50. Indice.
Je vous tiendrais au courant de ce que ça donne. :)
quand je m'attaque à la programmation
Catégorie : Experience design. Ecrit par Patricia Gallot-Lavallée, le 22 février 2015 à 09:48
A l'IIM, avec notre super intervenante objets connectés... nous nous attaquons à un gros sujet : "donner à TOUS nos étudiants une furieuse envie de savoir programmer !"
L'objectif est de créer "LA DECISION" dans l'esprit de nos jeunes "designers d'interaction".
Je pense, dans mon argumentaire, utiliser un "Steve a dit" :
Je pensais aussi :
- à créer l'étincelle créative dans leur esprit afin de vouloir réaliser leurs idées,
- leur démontrer en quoi, comme faire des fautes d'orthographe, ne pas savoir programmer est une forme d'handicap,
- trouver un méga giga pédagogue intervenant en programmation,
- et créer du lien du lien et du lien avec leurs objectifs.
Bref, tout un programme.
quand je trouve un chouette atelier à faire avec des enfants
Catégorie : Experience design. Ecrit par Patricia Gallot-Lavallée, le 3 février 2015 à 21:15
L'autre jour ma lolotte était invitée à l'anniversaire d'un copain de crèche... je me suis dis que plutôt que d'acheter des boucliers dans le commerce, nous pourrions les fabriquer.
Ca marche avec trois bouts de ficelles, un peu de couleurs, un reste de carton et beaucoup de colle blanche.
quand Paris for Love avance avance
Catégorie : Design d'interaction. Ecrit par Patricia Gallot-Lavallée, le 3 février 2015 à 20:53
Avec les prépas de l'IIM et l'agence Eurelis, nous organisons pour la St Valentin un événement ibeacon dans tout Paris.
De plus en plus de balises sont positionnées
De plus en plus de super contenu créé
Pour suivre nos aventures : www.parisforlove.com