quand je m'intéresse à Tolkien
Catégorie : Exemple. Ecrit par Patricia Gallot-Lavallée, le 21 mars 2013 à 14:58
... vous me direz, il était temps !!!
A Noël dernier, j'ai profité de la bienfaisante présence des grands-parents de Toscane pour m'évader dans une série de podcasts sur Tolkien. Vous savez l'auteur du Seigneur des anneaux ce petit best seller qui a de millions de fans à travers le monde ?!
Ce qui m'intéresse sur son oeuvre c'est non seulement la base de l'histoire, les leviers émotionnels qu'il utilise, mais surtout ce que je trouve fascinant c'est qu'il est à l'origine de tellement d'autres contes, jeux de rôles et jeux vidéos à succès que cela en est presque étourdissant.
Comment pensait-il ? Quelles étaient ses méthodes de travail ? Quelles étaient les certitudes fondatrices de son oeuvre ?
Trois mois sont passés et finalement je retiens 5 choses de ces nombreuses heures d'écoute.
1) ESCAPISM : même Tolkien le disait à ses contemporains : "oui, j'ai créé un univers dans lequel les lecteurs s'évadent. Ils s'échappent de leur réalité." (Note à moi-même : à ajouter dans l'ingrédient n°1 de J'adooore).
Je comprends les lecteurs, moi aussi je préfère aller dans cette photo plutôt que d'aller faire la vaisselle.
2) TOLKIEN THE PHILOLOGUE : Tolkien ne se décrivait pas comme un auteur mais comme un historien des langues, un philologue, un scientifique spécialiste des langues médiévales. Honnêtement, un sacré geek le Ronny ! Quand il trouvait un mot dans de vieux vieux poèmes dont il ne trouvait pas l'origine... et bien il l'inventait. C'est ainsi qu'il imagina l'origine et la disparition des Elfs. On parle de 1920, pas de Google, pas de Ctrl+F dans un document, que de très vieux livres dans les bibliothèques de l'université d'Oxford, de Leeds !
Et encore mieux, il savait que les langues et les mots étaient évolutions, transmutations, parfois même retournement de signification... alors il s'essaya à créer ses propres langues ! Dans un des podcasts, on entent Tolkien parler dans l'une d'elle. C'est énorme. Le monsieur parle dans un micro, une langue que lui seul comprend ! :))) Geek alert mais J'adooore. Il y parle d'ailleurs un peu vite, ça casse la poésie, enfin je trouve.
Il aimait inventer des mots mais pour que les mots existent vraiment, il lui était obligé de créer les situations dans lesquels ces mots avaient besoin d'exister.
The 'stories' were made rather to provide a world for the languages than the reverse. To me a name comes first and the story follows... JRR Tolkien
Typiquement, de nos jours, pour pouvoir utiliser le verbe twitter en français, il faut que Twitter et que la Twittmania existe, sinon le mot ne peut pas être utilisé ! Vous voyez le truc ?
Bref, ce que je trouve particulièrement intéressant ici, c'est que son dada lui donnait des contraintes dans lesquelles faire évoluer son histoire. Et en créativité, on le sait... c'est top les contraintes. :)
Finalement, pour simplifier ma vision de la méthodologie de travail de Tolkien, je dirais que son imagination comblait les trous du puzzle de l'histoire. Un puzzle qui n'était pas constitué d'images mais de mots, de phrases, de syntaxes.
PS : Et en passant par là, comme J.K Rowling ses livres ne sont que l'arbre qui cache la forêt de ce qu'ils ont imaginés.
3) TOLKIEN THE VETERAN : Tolkien a pu remarquer lors de son passage dans les tranchés de la première guerre mondiale que nous survivions grâce à l'indomptable courage dont font parfois preuve des petites personnes et ceci alors que rien ne porte à croire qu'il y ait la moindre chance. Selon ses propres mots, cela l'avait clairement marqué. (Carpenter, J.R.R. Tolkien: A Biography 180).
4) TOLKIEN L'AMOUREUX : Le personne de Bilbo embarque tout ce qu'il aimait à propos de sa terre natale, le West Midland, que je confond toujours avec MIDDLE EARTH / La terre du milieu. D'autre part, il aimait l'esthétique sonore du gallois et du finnois. Je crois bien que les langues Elfiques qu'il a inventées sont à l'origine de ces langues. Là, c'est sur je suis d'accord avec lui, le finnois c'est juste hors de tout !
PS / en passant par là : J.K. Rowling a mis un train dans les Harry Potter parce qu'elle aime les trains. Andy Warhol est devenu célèbre en peignant ce qu'il aimait : les conserves de soupe Campbell et l'argent.
5) UNE LANGUE NE PEUT EXISTER SANS SES LEGENDES : De tout cela une question continue de tourner en moi, lorsque je rentre de la crèche, que je fais la vaisselle... Tolkien qui au début soutenait l'Esperanto a fini par le "renier". Il disait quelque chose comme cela : "une langue ne peut exister sans ses légendes." Argument par lequel la série de podcasts se termine... l'intervenante au drôle d'accent finit par dire : "vu le nombre de personnes qui parlent les langues de Tolkien, il devait bien avoir raison quelque part."
Je ne sais pas, je me demande... est-ce vrai pour d'autres choses ? Pour exister, pour vraiment être utilisé, pour évoluer quelque chose doit-il avoir ses légendes et mythologies ?
quand l'équipe de Seinfield nous raconte comment tout a commencé
Catégorie : Exemple. Ecrit par Patricia Gallot-Lavallée, le 14 mars 2013 à 12:54
- des modèles (même Kramer est vrai),
- un guide : le rien de nos vies de tous les jours,
- une structure : 26 min, 4 histoires qui s'entrelacent,
- une vraie chimie dans l'équipe.
quand Lana Wachowski reçoit le prix de la visibilité par Human Rights Campaign
Catégorie : Exemple. Ecrit par Patricia Gallot-Lavallée, le 14 mars 2013 à 10:59
Alors Larry Wachowski, Lana a écrit et produit avec son frère, la trilogie Matrix...
"Il est des choses que l'on fait pour soi, d'autres que l'on fait pour les autres." Mr Anderson
Je trouve son sens du style juste hallucinant... à la hauteur de son talent de scénariste et de réalisateur.
quand je rencontre Victoire de Castellane
Catégorie : Exemple. Ecrit par Patricia Gallot-Lavallée, le 5 décembre 2012 à 19:28
Bon, j'exagère, j'ai seulement découvert le personnage de Victoire de Castellane pour mes recherches sur Humour. Encore quelqu'un qui a du style.
Elle, elle aime quand les vrais bijoux ont l'air d'être des faux. Pour elle l'humour, la désinvolture ne doit jamais être cynique.
quand on fait "méthode traditionnelle VS méthode agile" en deux vidéos (TEDxParis 2012)
Catégorie : Exemple. Ecrit par Patricia Gallot-Lavallée, le 19 novembre 2012 à 13:31
A TEDx Paris cette année, j'ai eu un choc car pour une fois, au cours d'une même conférence, on pouvait faire un "méthode traditionnelle VS méthode agile".
Alors que j'écoutais ce talk... le ton, le blabla, les photos... m'ont fait arriver à la conclusion "mais il n'existe pas ce navire ! Ce SeaOrbiter." Et une petite voix sarcastique en moi se disait... "et il n'existera pas". Mon voisin de droite, lui, pensait qu'il existait ce bateau "photoshoppé".
Dans ce second TedTalk, l'histoire d'un bateau développé en agile. Son nom Protei.
Depuis, j'ai eu confirmation. Le premier bateau SeaOrbiter n'existe pas. Une coque est peut-être en construction en Corée.
Je trouve ce Protei Vs SeaOrbiter particulièrement intéressant.
- Un est beau et surréel (à tel point qu'il n'existe pas), l'autre est bizarroïde et révolutionnaire au possible.
- Un est le fruit d'un rêve, l'autre le fruit d'une nécessité.
- Un se promeut en costard, l'autre en basket.
- Un semble chercher une justification pour exister, l'autre tient son innovation d'une problématique bien réelle.
- Un a une coque fabriquée en "secret" en Corée, l'autre partage tous ses plans et résultats sur internet
- Un veut batir et conquérir un nouveau territoire, l'autre veut réparer nos bétises.
- ...
Je me demande qui sera en production en premier. Chouette battle.
quand Paul Mir (Monceau Fleurs) donne des chiffres sur l'effet de la couleur sur les ventes
Catégorie : Exemple. Ecrit par Patricia Gallot-Lavallée, le 9 novembre 2012 à 15:29
Paul Mir : "Chez Monceau Fleur, par exemple, l'adn de base, c'est le banc extérieur. 80% des ventes se font à l'extérieur, avec des bottes, avec des produits très colorés."
quand finalement je me rends compte qu'Yves Saint Laurent travaillait en agile
Catégorie : Exemple. Ecrit par Patricia Gallot-Lavallée, le 9 novembre 2012 à 09:01
Si vous regardez ce documentaire en 9 parties. Vous verrez les méthodes de travail de la maison Yves Saint Laurent. Après 42 années de pratique, les voici en pleine création d'une collection.
1 - Ils se donnent 8 semaines pour réaliser la collection. C'est ce que j'appelle un joli sprint.
2 - Ils ont un Radiator Info.
3 - Ils testent directement les tissus sur le mannequin qui portera la tenue. C'est ce que j'appelle : "Travailler le marshmallow en haut".
Ils testent même l'effet que donne l'entrée en scène d'un mannequin. La responsable de la robe entre dans la salle après quelques secondes.
4- Ils font des prototypes rapides. Ils en font d'ailleurs dans tous les sens. Ici, la broderie que l'on voit demande 3 jours de travail. Pour voir si, la broderie leur plaira quand elle sera petite, la personne de l'équipe YSL fait une réduction à la photocopie sur un papier de soie. 10 minutes après, ils savent.
5 - Ils font des standups et des standups techniques.
6 - Ils ont à disposition variété de produits de base (tissus, chapeaux, ceintures, broderies, boucles d'oreilles) pour leur permettre de faire des essais. Je sais que les organisateurs de Museomix ont une liste de matériel comparable. Chez eux, c'est plus Imprimante 3D et vidéoprojecteur, mais c'est aussi chouette.
7 - Ils font référence aux clients et à leurs personas souvent. Georgette connait les clientes. Ils implémentent d'une fois sur l'autre les remarques faites par les utilisateurs finaux. Ici Catherine Deneuve apprécie que les poches soient faites de tissus couleur chair, ce qui les rendent transparente. Détail qu'elle qualifie de raffiné.
8 - YSL se base aussi sur son intuition.
9 - Ils passent beaucoup de temps à dire ce qui va et ce qui est joli. Une information qui descent la hiérarchie.
10 - Dans la salle de travail, quelque chose pour s'amuser, pour créer la distraction.
11 - Parfois, ils changent de plan complètement et savent jeter des modèles.
12 - Parfois, c'est le drame, la panic. Des scènes qu'ils semblent avoir coupées du montage.
13 - Ils savent s'arrêter de travailler.
Et ce ne sont pas les seuls : Dans ce document sur la maison Chanel, ils disent : "Melle Chanel, depuis toujours, s'est entourée de jeunes femmes de bonnes familles, comme on dit, qui exercent leur métier comme une sorte de sacerdoce."
Ce qui revient pour moi à dire, qu'elle avait ses persona sous le coude.
Source du documentaire : Yves Saint Laurent, avenue Marceau.
Quizz du jour : pourquoi voit-on des autocollants Apple partout ?
Catégorie : Exemple. Ecrit par Patricia Gallot-Lavallée, le 8 septembre 2010 à 10:59
W3C + Serious game + Licence pro webdesign sensoriel de Limoges
Catégorie : Exemple. Ecrit par Patricia Gallot-Lavallée, le 17 février 2010 à 12:43
Voici les projets serious game concernant les standards du W3C que les chouettes équipes de la Licence pro webdesign sensoriel de Limoges ont réalisé en 3 jours.
Un jeu de niveaux par l'équipe Victoire, Mélanie et Vincent.
Un jeu concours à l'embauche créé par Maele et Alexia.
Le tableau périodique des tags par Julie, Jean et Robin.
Jeu de l'oie de W3C de Séverine, Arnaud et Christian.
Adrien et Ivan vous propose d'évaluer le nombre d'utilisateurs que vous allez perdre à ne pas respecter les normes du W3C.
Virez les mauvais en W3C avec Aurélie, Bastien et Jordan.
Caroline et Niels font faire des lignes de code aux mauvais geeks.
Bamboozle en cours de droit
Catégorie : Exemple. Ecrit par Patricia Gallot-Lavallée, le 8 février 2010 à 17:23
A tous les A3, voilà la référence "culturelle" à laquelle je fais référence lors de notre semaine de Droit & Multimédia. Les règles du quizz de vendredi sont en train de se définir.
Pour les quizzés :
Vous devez être capables de répondre "à la bamboozle" aux questions de Droit et de prix que la salle vous posera.
Vous devez changer de pied entre deux réponses.
Toutes variantes créatives vous fait gagner un bonus. Bonus que vous pourrez donner à quelqu’un pour le sauver.
Si vous échouez dans la réponse, quelqu'un dans la salle peut prendre votre tour.
Echouer dans une réponse vous fera perdre votre tour.
Au bout de 3 réponses correctes, vous passez votre tour à votre voisin et vous serez qualifiés pour la ligue 2. La ligue 2 est un tour de questions plus difficiles.
L'assemblée pourra vous poser des questions sous forme d'images et d'exemples concrets.
Pour les quizzeurs :
Voici des exemples de questions à préparer.
- Donnez 2 mentions obligatoires sur un site internet hébergé en France.
- Je veux utiliser la sonnerie de Nokia dans mon film publicitaire, ai-je le droit ?
- Dans mon montage vidéo, j'ai 20 personnes dans le fond. On peut reconnaitre leur visage mais je n'ai pas fait signer d'autorisation de diffusion des images. Que dois-je faire ?
- J'ai trouvé une image dans Google image, puis-je la mettre dans la charte graphique du site de mon client ?
Comme vous pouvez le constater, les réponses peuvent être oui ou non ou des réponses plus élaborées.
-----Aux lecteurs du site... si vous voulez participer, posez vos questions de Droit & Multimédia en commentaire, on les mettra dans le quizz de vendredi. Merci
Ces nouvelles signatures automatiques envoyées depuis son téléphone
Catégorie : Exemple. Ecrit par Patricia Gallot-Lavallée, le 23 décembre 2009 à 12:54
La traduction étant : Désolé, pour la brièveté et les particulièrement grosses fautes d'orthographe : ce message a été envoyé depuis mon téléphone portable.
J'adore !
Gap Cheers, enfin une marque tient une chance dans Facebook
Catégorie : Exemple. Ecrit par Patricia Gallot-Lavallée, le 11 décembre 2009 à 10:41
Vraiment avoir sa chance, en tant que marque, dans l'autoroute à 15 voies de trafic Facebook, reste très difficile.
Pourquoi ? Parce que Facebook, c'est un lieu d'amour, pour moi, de mes amis vers moi, de moi vers mes amis. C'est le moment de qualité par excellence. C'est le stroke positif de l'analyse transactionnelle. La preuve en est, il n'y a même pas de bouton "Je n'aime pas". Si quelqu'un nous ignore "on ne le sait pas"...
Une petite difficulté intellectuelle, certains vont fumer une cigarette, d'autres vont dans Facebook, prendre leur dose... d'amour.
Le haut lieu de la rigolade, du divertissement pur, de l'émotionnel, l'endroit où je vais pouvoir me définir (par des quizz, et autres), me mesurer par rapport aux autres et dans un sens "connaitre ma valeur". Et tous ceux qui ne respecteront pas ces règles seront... ignorés !
Facebook, c'est l'endroit où une vague d'émotion positive va nettoyer toutes les émotions négatives d'avant. L'endroit où les messages de peurs des médias (les pauvres, c'est tout ce qu'ils leur restent) sont automatiquement désintégrés.
Effectivement les marques peuvent avoir leur page "fan" mais d'ici à vraiment faire du chiffre... cours toujours, chéri !
La marque peut au moins se servir de son status update pour faire passer des petites annonces de temps en temps. La seule chose que la page Fan apportera vraiment aux marques, c'est un espèce de marqueur d'amour. Le nombre de fan dira si les gens feront la queue devant le magasin quand la marque sortira un nouveau produit ou s'il faudra aller les chercher à coup de publicité, de cadeaux et d'offres spéciales limitées dans le temps...
Bref, la période des Fêtes n'est pas encore tout à fait là, mais cette application de Cheers tient sa chance dans Facebook. Parce qu'elle parle d'amour que l'utilisateur va pouvoir envoyer à son réseau... et en recevoir en retour.
Le gros moins de l'application qui me fait penser qu'ils se tirent une balle dans le pied... l'application n'est pas totalement intégrée dans Facebook, c'est un simple lien vers un site externe. Et sortir de la bulle Facebook ne plait pas vraiment à la population Facebook. Bref, ce n'est pas une bonne idée, surtout dans leur cas. Je sais, l'intégration dans Facebook, attention je vais parler anglais, is a pain. Mais bon... on verra bien ce que donne les chiffres. Ils en sont à 48 342 cheers, ce qui est peu car le concept est aussi une campagne tv diffusée aux US en ce moment. Bref, la période des voeux n'est pas encore lancée.
Via Pak
Et vous, quelle est votre Google search story ?
Catégorie : Exemple. Ecrit par Patricia Gallot-Lavallée, le 1 décembre 2009 à 14:51
4 à 5 trucs me font réagir sur cette "campagne" :
- Alors, quelle est votre Google Search story ? Vous croyez que de ne pas avoir de Google Search story, c'est mauvais signe ?
- Je trouve cette "publicité" particulièrement bonne, car chacun peut se projeter (se reconnaitre) dans ce concept.
- Elle me rappelle aussi quelque chose que je disais aux gens qui disent "Google est méchant, ils lisent tes emails". Je leur ai toujours répondu :"il y a beaucoup plus d'information sur moi dans mes recherches que dans mes emails !". Bref, il y a une femme aux Explorateurs du web qui garde une trace de ses recherches Google depuis des années. Je vais voir à vous trouver le lien, si il existe. Et vous, vous seriez prêt à partager aux yeux des gens qui vous entourent, vos recherches Google ?
- Euh petite remarque de l'expert, au contraire de ce qu'il y a dans la vidéo, les internautes ne mettent pas de "Where, what is" dans leurs requêtes. ;-)
D'autres histoires de recherche sur http://www.youtube.com/searchstories
Vous êtes responsables de votre succès
Catégorie : Exemple. Ecrit par Patricia Gallot-Lavallée, le 23 octobre 2009 à 10:15
Je partage avec vous l'extrait d'un article du New-York Times de Thomas Friedman que Bob m'a fait parvenir (merci Bob).
Un ami avocat à Washington me parlait récemment des mises à pied à son cabinet. Je lui ai demandé qui se faisait saquer dans cet éclatement de la bulle du crédit. Il a dit que les avocats qui avaient l’habitude de juste se pointer au bureau en attendant qu’on leur donne des dossiers à traiter, ont été remerciés. Que le flux de travail n’y est tout simplement pas. Mais ceux qui ont la capacité d'imaginer de nouveaux services, de nouvelles opportunités et de nouvelles façons de recruter du travail étaient conservés. Ils sont les nouveaux intouchables.
C'est la clé pour comprendre notre défi de l’enseignement d’aujourd'hui. Ceux qui attendent qu’on leur remette à nouveau du travail pourraient avoir une longue attente. Ceux qui ont l'imagination pour se rendre intouchables - d'inventer des façons plus intelligentes de faire leur travail, des économies d'énergie, d'offrir de nouveaux services, de nouvelles façons d'attirer les clients ou de nouvelles façons de combiner les technologies existantes - vont prospérer.
Nos écoles ont une tâche doublement difficile aujourd'hui - non seulement l'amélioration de la lecture, l'écriture et l'arithmétique, mais l'esprit d'entreprise, l'innovation et la créativité.
Quand je vous dis qu'on est responsable de son succès !
Quand le 4ème site le plus visité au monde affiche une erreur de frappe
Catégorie : Exemple. Ecrit par Patricia Gallot-Lavallée, le 18 septembre 2009 à 14:40
Voyez-vous le petit "Bach to menu" en haut à gauche de l'image ? Il est écrit "Bach" ou lieu de "Back". C'est dans le gabarit de la visionneuse vidéo, visible à des millions de personnes en ce moment même.
Comment, dans le processus de création de ce gabarit, est-il possible que personne n'ait vu et fait corriger cette erreur ?
Ce sont les commentaires qui commencent à déteindre sur le gabarit ? :-)
Comment faut-il changer le processus de production des gabarits afin de s'assurer que cela n'arrive pas ? Faut-il absolument éviter que cela arrive ?
Méritent-ils un passage dans Retourne au CM1.com
EDIT A lire absolument le commentaire de Clément. C'est drôle, je me suis faite avoir comme un bleu.